vārdnīca čehu - franču

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franču valodā:

1. j'ai


J'ai treize chats.
Pour acheter mon ordinateur, j'ai dû payer 100€.
Pendant mon année sabbatique j'ai composé une fugue et domestiqué un rouge-gorge.
Un café ? "J'aimerais bien, mais j'ai déjà un rendez-vous de prévu."
En pressant de manière répétitive la pédale d'embrayage, j'ai quelque peu réussi à désolidariser l'embrayage de telle sorte que j'ai pu rouler pendant un moment.
«As-tu l'intention d'acheter un billet de loterie ?» «Je ne crois pas que j'ai de la chance au jeu.»
J'ai rencontré dans la vie plusieurs animaux pas beaucoup plus idiots que bien des électeurs.
J'ai été hors circuit pendant un moment. Peux-tu me remettre au parfum ?
Les gens disent que j'ai l'air d'avoir à peu près le même âge que ma sœur.
J'ai dû lancer à la guerre de ces choses qui sont si dures à recevoir sur nos pauvres peaux d'hommes qu'une épine de rose fait saigner.
J'ai bien un permis de conduire mais pas de pratique de la conduite, aussi je n'ai pas confiance en mes capacités en la matière. Prenons le train pour aller où que ce soit.
Au début, j'ai détesté ça mais ça m'a progressivement de plus en plus amusé.
Ah, maintenant je m'en souviens. J'ai utilisé un préservatif; chose que je fais rarement ou plutôt presque jamais.
Ah non, j'ai pris deux kilos ! À partir d'aujourd'hui, je ne mange plus d'en-cas.
J'ai toujours eu beaucoup de mépris pour ceux qui obtiennent un poste via un piston, quand bien même leur incompétence est flagrante.

2. moi


C'est moi.
Un étranger, derrière moi, me tapa sur l'épaule. Je suis sûr qu'il m'a pris pour quelqu'un d'autre.
Oui, c'est moi. Êtes-vous M. Nakano ?
Étant extrêmement intelligent et tranquille, ce chien est pour moi un bon ami.
Moi non plus.
Je lève mon verre, dit-il, "aux morts qui reposent autour de nous." "Et moi à votre longue vie."
Un ami à moi a commissionné un artiste connu pour peindre un portrait de sa femme.
Mais moi, vivre à Paris ! Eh ! Qu'y voudrais-je faire, je ne sais ni tromper, ni feindre, ni mentir ; et, quand je le pourrais, je n'y puis consentir.
Je vins à Carthage où j'entendais bouillonner autour de moi la chaudière des amours infâmes.
Dans tous les cas, si vous voulez en savoir plus sur mon pays, je vous enverrai une lettre quand je serai chez moi.
C'est lui qui a dit : "Celui qui viendra après moi a été fait mon supérieur, parce qu'il était avant moi".
La décision de savoir si je devrais la rencontrer ou pas n'appartient qu'à moi.
C'est un tic à moi, dont je n'arrive juste pas à me débarrasser.
Il semblerait que les Chinois ne peuvent s'empêcher de parler anglais avec moi, quand bien même ils savent que je parle chinois et que je ne suis pas Anglais.